
C’est l’histoire d’un employeur pour qui « fin de contrat » aurait dû rimer avec « immédiat » …
Après avoir Ă©tĂ© licenciĂ©e pour faute grave le 9 avril, une salariĂ©e reçoit de son dĂ©sormais ex-employeur ses documents de fin de contrat le 6 juin. Une remise de documents tardive qui justifie, selon elle, l’octroi de dommages-intĂ©rĂŞts… Puisqu’elle a Ă©tĂ© licenciĂ©e pour faute grave, elle n’a pas effectuĂ© de prĂ©avis dans l’entreprise, de sorte […]